• Pétrole : Le Maroc confirme la découverte au large d'Ifni

    L'Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) et ses partenaires, les
    sociétés Genel, San Leon et Serica, ont annoncé aujourd'hui que le puits SM1 situé
    à  59  Km  au  large  de  la  ville  d’Ifni  a  rencontré  "des  indices  d’huile"  au  niveau  du
    Jurassique  Supérieur  à  la  profondeur  de  2  087  mètres,  confirmant  ainsi  l'annonce
    faite hier par Genel.
    Les travaux de forage de ce puits ont démarré le 30 juillet dernier pour atteindre la
    profondeur  finale  de  2825  m  le  16  octobre  courant,  a  précisé  l'Office  sur  son  site
    Web.
    Et  de  souligner  que  des  opérations  spécifiques  sont  en  cours  de  réalisation  pour
    qualifier la nature de l’huile rencontrée et apprécier les qualités pétrophysiques des
    roches traversées afin de se prononcer sur le réel potentiel de la zone d’intérêt.
    A suivre !

    Infomediaire.net , mardi 21 octobre 2014

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  • Ebola : le Nigeria est venu à bout de l'épidémie

    La bataille contre Ebola n'est peut-être pas encore perdue. Trois mois après l'arrivée du premier malade atteint par la fièvre hémorragique au Nigeria, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé officiellement ce lundi que le pays n'était plus touché par l'épidémie.

    Accès aux soins, tiers payant: et si on parlait de l'utilité sociale des mutuelles? #RDVsolidaire de la Mutualité Française.

    «L'épidémie a été stoppée au Nigeria. Il s'agit d'une réussite spectaculaire qui montre au monde entier que l'Ebola peut être stoppé», a déclaré le représentant de l'OMS au Nigeria, Rui Gama Vaz, lors d'une conférence de presse à Abuja. Cette annonce intervient au terme de la période requise de 42 jours, soit deux périodes d'incubation de 21 jours, depuis l'enregistrement du dernier cas dans le pays.
     

     

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  • Une première mondiale : Un chef d'état devant le cour pénal intérnational

    Le président kenyan Uhuru Kenyatta a quitté fier Nairobi pour une comparution inédite aujourd'hui devant la CPI à La Haye, la première d'un chef de l'Etat en cours de mandat devant cette juridiction.

    M. Kenyatta, accusé de crimes contre l'humanité pour sa responsabilité présumée dans les violences post-électorales de fin 2007 et début 2008 dans son pays, a annoncé répondre à la convocation de la CPI à titre personnel et non comme chef de l'Etat. Il a délégué ses pouvoirs à son vice-président William Ruto le temps de son séjour à La Haye. Hier matin, il a salué ses partisans à l'aéroport de Nairobi avant d'embarquer sur un vol régulier de Kenya Airways, accompagné de sa femme et d'un de ses enfants, selon l'AFP. Trois ministres et six députés font également le voyage avec lui. Selon un responsable de la présidence kenyane, Uhuru Kenyatta, qui n'a fait aucune déclaration à son départ, a payé lui-même son voyage. «Comme il l'a clairement dit lundi, il ne voyage pas en tant que président, donc les coûts ne sont pas assumés par l'Etat», a expliqué cette source sous couvert d'anonymat. Aujourd'hui, M.Kenyatta, 52 ans, deviendra néanmoins le premier chef d'Etat à comparaître durant son mandat devant la CPI. Il a déjà comparu une fois devant la CPI, mais avant son élection à la magistrature suprême en mars 2013. Depuis, son procès a été reporté à plusieurs reprises, notamment en raison de la rétractation de plusieurs témoins importants. La probabilité que ce procès ne s'ouvre un jour n'a cessé de se réduire au fil des mois, surtout depuis que l'accusation a demandé son report sine die, faute de preuves suffisantes. Aujourd'hui, Uhuru Kenyatta doit assister à la «Conférence de mise en état» à la CPI, qui doit examiner cette requête du procureur Fatou Bensouda, ainsi que la demande formulée en réponse par la défense - abandonner les poursuites. A La Haye, les procureurs ont demandé aux juges de sanctionner le Kenya pour son manque de coopération lors de l'enquête. Le parquet veut consulter les comptes bancaires de M. Kenyatta, ses déclarations fiscales et les relevés de ses appels téléphoniques passés pendant la période des violences post-électorales de décembre 2007. Ces violences qui avaient éclaté après la victoire annoncée et largement contestée du président sortant Mwai Kibaki à la présidentielle avaient fait plus de 1.000 morts et 600.000 déplacés. Si les juges établissent que le Kenya ne coopère pas suffisamment, la requête pourrait être portée devant l'Assemblée des Etats membres de la CPI. Des observateurs considèrent cependant que l'Assemblée ne pourrait que condamner les faits, et qu'un tel geste n'aurait aucun effet sur le Kenya. Le procureur général du Kenya Githu Muigai, qui représente son pays à l'audience, a vigoureusement démenti ces accusations. La décision d'Uhuru Kenyatta de se rendre à La Haye, mais de le faire en tant que «citoyen privé», était perçu hier par les médias kenyans comme une habile façon d'échapper à une comparution «humiliante» pour le chef de l'Etat, tout en évitant au pays de se transformer en «nation paria». Pour un éditorialiste du quotidien The Nation, sa décision «doit avoir coupé le sifflet à ceux dans l'opposition et la société civile qui salivaient à la perspective de voir le président se faire humilier en comparaissant devant la CPI ou de le voir snober la convocation et se transformer en fugitif international». «En choisissant de jouer le jeu, le président montre qu'il n'a rien à cacher», a de son côté estimé l'autre grand quotidien du pays, The Standard. Sévère à l'égard de la CPI, où ne s'est selon lui pour l'instant joué qu'une «farce», le journal a toutefois ajouté que la «quête de justice ne doit pas être abandonnée» pour tous ceux qui ont été «tués», «mutilés» ou qui ont tout perdu dans les violences. «En tant que victimes, nous voulons que la justice à laquelle nous aspirons soit rendue», a confirmé Maureen Opondo, porte-parole de déplacés dans la région de Nianza, dans l'Ouest du Kenya. Nombreux sont cependant ceux à penser que le dossier contre Uhuru Kenyatta est sur le point de s'effondrer.

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    "La France ne peut plus recruter systématiquement sous le statut des fonctionnaires à vie", déclare l'ancien président français Niciolas Sarkozy. Mais la fonction publique est déjà la championne des contrats précaires.

    Fini les contrats à vie, Un contrat de 5 ans pour les fonctionnaires selon Sarkozy

    Nicolas Sarkozy propose de créer un contrat de cinq ans pour les fonctionnaires. "Je crois utile la création d'un nouveau contrat de cinq ans dans la fonction publique parce que la France ne peut plus recruter systématiquement sous le statut des fonctionnaires à vie, dit-il au "Figaro magazine" jeudi 2 octobre. Ce nouveau contrat ne s'appliquerait pas à tous les postes : les policiers ou les enseignants, par exemple, ne seraient pas concernés."

    Les réactions ne se sont pas faites attendre. "Démantèlement de la fonction publique", crie le ministre du Travail François Rebsamen. "Nicolas Sarkozy propose de faire demain ce qui a mis la France et les Français à genoux hier", regrette le Parti socialiste. "Lors de son discours fondateur à Nantes en septembre 2007, explique Jean-Marc Canon, secrétaire général à la CGT, il avait déjà annoncé sa volonté de mettre fin au statut des fonctionnaires et de recruter à l'avenir des contractuels de droit privé."

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  • La directrice de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), Amina Benkhadra, vient de confirmer - pour la première fois - l’existence de pétrole au Maroc.

    Le petrole existe au Maroc, c'est officiel

    Lors d’un entretien publié hier par le journal Assahrae Al Maghribiya, la directrice est on ne peut plus claire sur les perspectives prometteuses de l’exploration pétrolière au Maroc. « Les études et travaux menés par l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) et ses partenaires au niveau de différents bassins sédimentaires du Royaume ont montré l’existence de systèmes pétroliers et de plusieurs gisements potentiels ».

    Mais il faudra attendre plusieurs années avant de voir ces « perspectives prometteuses » se matérialiser en barils de pétrole. Amina Benkhadra estime qu’entre 7 et 15 ans de recherches seront nécessaires.

    A ce jour, l’Office a accordé 113 permis de prospection et dispose d’une trentaine de contrats avec des entreprises spécialisées. Côté budget, c’est près de 5 milliards de dirhams en 2014.

    Source: bladi.net

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