Le rappeur trouve injuste qu’il soit obligé de publier des versions « censurées » de ses propres singles en supprimant des expressions telles que « Bitch », « Ass » ou encore « MotherFucker » pour que ses singles puissent être diffusés sur les grandes radios nationales. Pour lui, Britney Spears a été favorisée, rappelant que son dernier single commence par « It’s Britney Bitch ».
« Si c’est ainsi, mon prochain single commencera ainsi ‘It’s Britney Bitch!’ », a déclaré le rappeur new-yorkais.