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Par farisse le 23 Août 2013 à 11:07
L’Afrique serait elle la direction la plus priviligiée des géants de fabrication de tissus. Le géant suédois H&M a annoncé le 16 août son intention d’étendre son réseau de fournisseurs en Ethiopie, rapporte Le Monde. «Nous cherchons constamment de nouveaux marchés d'achat potentiel », a indiqué la porte-parole du groupe, qui concentrait jusque-là 80% de sa production sur le continent asiatique.
Mais c’est probablement l’enjeu financier qui dicte la nouvelle stratégie du numéro deux mondial du prêt-à-porter, estime l’article. L’augmentation des salaires en Chine – environ 17% annuels dans le secteur privé sur les deux dernières années – fait qu’il n’est plus aussi avantageux de délocaliser la production. Actuellement, le coût de production d’un vêtement en Ethiopie est deux fois moins élevé qu’en Chine, selon les chiffres du Wall Street Journal relayés par le quotidien.
Le site ajoute que la plus grande proximité entre les côtes africaines et l’Europe, qui constitue le principal marché du groupe, devrait aussi permettre de réduire les frais de transport et de livraison.
Les fournisseurs éthiopiens devraient bâtir des usines dans le pays d’ici la fin 2013. Cependant, selon le quotidien économique, l’initiative pourrait bien être freinée par l’augmentation rapide des coûts en Ethiopie, qui ont subi une hausse de 18% sur la période 2010-2010, contre 7,7% en Chine sur la même époque. A ce train, les coûts de production du pays africain dépasseront les chinois dès 2019, prévoit l’article.
L’Ethiopie a une longue tradition d’activité textile, due à l’invasion italienne en 1935, rappelle le site. Ce secteur est un moteur de croissance pour le pays, qui reste l’un des plus pauvres du monde. Le gouvernement tente de rendre le marché attractif pour les investisseurs étrangers en proposant une main-d’œuvre bon marché et des exonérations de charges. L’entreprise britannique Tesco a déjà franchi le pas, précise l’article.
Lu sur Le Monde
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Par farisse le 22 Août 2013 à 14:13
Les dribbleurs sont avertis. Jingyang Zhang perd vite patience. Lors d’un match contre Shanghai Shenhua disputé en début de semaine, le milieu de terrain de Liaoning Whowin dépassé par les dribbles de Giovanni Moreno, perd tout contrôle et tacle à volonté tous les joueurs de l’équipe adverse. Dai Lin, le malchanceux qui n’avait même pas le ballon a été sauvagement agressé par le joueur de Whowin qui voyait rouge.
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Par farisse le 21 Août 2013 à 19:55
Source : http://courrierstrategique.com
Le Roi Mohammed VI a vivement critiqué la politique suivie en matière d’enseignement et d’éducation, par l’actuel gouvernement conduit par le chef du parti islamiste Justice et Développement (PJD), Abdelilah Benkirane.
Au moment où ce dernier cherche à colmater sa majorité à la suite du retrait du parti de l’Istqlal, une des quatre composantes de la coalition gouvernementale, le Souverain alaouite n’a pas ménagé, sans les nommer, les titulaires des départements de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur et à leur tête bien entendu, le chef du gouvernement.
Sur un ton inhabituellement sévère et critique, Mohammed VI a déploré les faiblesses et dysfonctionnements qui continuent à paralyser l’envol de l’enseignement et de la formation professionnelle, surtout que les jeunes Marocains âgés de 15 à 29 ans, représentent, selon la Banque Mondiale, 30 % de la population du Royaume, dont 49 % ne sont ni à l’école ni au travail.
Dans un discours prononcé mardi, à l’occasion du 60ème anniversaire de la révolution du Roi et du Peuple, le souverain n’a apparemment, pas apprécié de constater que les efforts et programmes lancés par les précédents gouvernements soient entièrement ou partiellement délaissés par l’actuel gouvernement.
Ce dernier, «aurait dû capitaliser les acquis positifs cumulés » par ses prédécesseurs sur ce « chantier déterminant », malheureusement, regrette le Souverain marocain, les efforts nécessaires n’ont pas été entrepris pour consolider les acquis engrangés.
Il a déploré à ce titre, l’adoption de programmes et de cursus « qui ne sont pas en adéquation avec les exigences du marché du travail ».
Pour remédier à la situation, le Roi a donc appelé à «un examen de conscience objectif permettant d’évaluer les réalisations accomplies et d’identifier les faiblesses et les dysfonctionnements existants».
Tout en reconnaissant que le chemin reste long à parcourir pour que le secteur puisse remplir son rôle de locomotive du développement économique et social, Mohammed VI a appelé les responsables à éviter les « surenchères et les rivalités politiciennes» en matière de gestion du secteur de l’éducation.
Il a enfin insisté sur un soutien accru à la formation professionnelle, un autre secteur qui s’adresse particulièrement aux jeunes.
Les métiers manuels et les professions techniques occupent en effet, une place privilégiée sur le marché du travail marocain, sachant que le Royaume abrite plusieurs unités de production de grandes firmes internationales spécialisées dans la construction automobile comme les maisons Peugeot et Renault ou dans l’aéronautique tel le géant américain Boeing.
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Par farisse le 21 Août 2013 à 19:51
source : http://www.europe1.fr
La chaîne qatarie a lancé mardi sa déclinaison 100% américaine. Un pari ambitieux et risqué.
L’INFO. Pour le lancement de sa chaîne d’information aux Etats-Unis, Al-Jazeera n’a pas fait dans la demi-mesure. Plus de 800 personnes recrutées, dont quelques journalistes stars débauchés chez la concurrence, vont travailler dans les douze bureaux de la chaîne dans le pays. Al-Jazeera America commencera à émettre mardi après-midi, avec, chaque jour, 14 heures de direct et une ambition affichée : révolutionner le journalisme télévisé, tout simplement. Un pari jugé "risqué" par le sociologue François Jost, spécialiste des médias.
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Par farisse le 21 Août 2013 à 13:50
Après la hausse des prix qui ont été annoncés après la fin du ramadan, beaucoup des marocains sur les réseaux sociaux ont appelés au boycott des produits de la Centrale Laitière , qui a annoncé en premier cette hausse du prix du lait, lequel n’était déjà pas à la portée d’une large frange de la population marocaine.
Le gouvernement affirme ne pas être concerné par cette hausse des prix qui ne dépendrait que des sociétés intéressées. "Les lois sur la libéralisation des prix et la concurrence octroient aux entreprises le droit d’augmenter leurs prix, sous réserve de les annoncer", a expliqué Najib Boulif, ministre des Affaires générales, à Akhbar Al Yaoum.
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